Conclusion

Les urgences, peu importe le domaine de la médecine dans lequel nous évoluons, représentent un défi de tous les jours. Nous pouvons faire une différence. Il faut avoir un sens de l’anticipation clinique pour être préparé lorsque ces épisodes surviennent.

Malheureusement, notre capacité de traitement demeure limitée comme nous l’avons vu. Les médicaments que nous employons, outre les opioïdes, sont plus ou moins efficaces et n’ont pas fait leurs preuves.

Dans les cas extrêmes, nous devons employer des moyens extrêmes et les protocoles de détresse ainsi que les sédations palliatives continues ou temporaires deviennent des moyens palliatifs de dernier recours.