Comme tout acte médico-chirurgical, il existe des contraintes désagréables. On n’a qu’à penser au maintien d’une position demi-assise et au matériel souvent encombrant qui limite la mobilité et l’accès au chevet immédiat du malade concourant à un isolement qui ne devrait pas être.
- Techniquement, des soins de tube pour empêcher les blocages.
- Lors de delirium fréquents en fin de vie, une nécessité de contention, que ce soit chimiquement ou physiquement, les douleurs et infections possibles au site de gastrostomie.
Souvent beaucoup d’effets négatifs pour des bénéfices de courte durée.
La règle éthique de bienfaisance sans malfaisance n’est parfois pas respectée et nous entraîne vers un acharnement thérapeutique déraisonnable d’un point de vue médical, du moins.
Personne ne veut imposer cette principale complication qu’est la pneumonie d’aspiration.