La carbamazépine demeure une excellente molécule malheureusement plus dangereuse que la prégabaline et surtout avec un profil d’effets adverses plus important.
Les douleurs neuropathiques ne sont pas unitaires dans leur physiopathologie et il est normal que des antiépileptiques différents agissent différemment et que le taux de succès dépende du bon emploi dans la bonne maladie.
Prégabaline pour des NNT assez semblables que celui de la carbamazépine a un profil d’innocuité qui est nettement avantageux.
Il y a très peu d’avantage clinique à gagner à surtitrer nos doses de prégabaline à hauteur de 600 mg/die contre 300 mg/die; l’efficacité des deux dosages est à peu de chose la même.