Pour conclure, il est juste de dire que les antagonistes du R-NMDA devraient avoir une place obligatoire dans notre coffre à outils.
Ce sont des molécules différentes qui ont en commun d’agir sur un maillon incontournable des processus de sensibilisation centrale qui conduisent à la tolérance aux opioïdes, à l’hyperalgésie opioïdo-induite, à la chronicisation d’une douleur aiguë et à la douleur neuropathique.
Les deux molécules ont des actions multi-modales et sont très versatiles dans leur présentation et dans leur mode d’administration.